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Copyright
André
Magnin
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Georges
Adeagbo
Georges Adeagbo est né
en 1942 à Cotonou. Vit
et travaille à Cotonou.
Après des études
de Droit en France, il rentre
au Bénin en 1971 pour se
consacrer entièrement à
son art. La farouche opposition
de son entourage le conduit en
hopital psychiatrique près
d'une dizaine de fois, mais ne
parvient pas pour autant à
le détourner de sa vocation
Contact
Quartier
Aïdédo - carré
796 - Cotonou - Bénin
Notes
Il
a grandi au Bénin, le fils
le plus âgé et préféré
de sa famille. Il a étudié
la loi à abidjan et en
France, où il a projeté
solder le compte. Quand son père
est mort, sa mère lui a
demandée de retourner au
Bénin au soin de prise
de la famille. Peu disposé
à prendre cette responsabilité,
il était en conflit avec
sa famille et leur manque de compréhension
pour le garder là. Il est
resté sans emploi et souffert
de ne pas pouvoir réaliser
ses projets. Sa solitude a pesé
fortement sur lui et pour s'échapper
de cette "prison", de
chaque jour Georges à gauche
la parcelle de terrain de famille
de la terre et est allée
à la lagune où il
a rassemblé et a rapporté
une grande variété
d'objets et de matériaux.
"je marche, je pense, je
vois, je passe, je reviens, je
prends les objets qui m'attirent,
je vais à la maison, j'ai
lu des choses, je fais des notes,
j'apprends." Georges Adeagbo
a rassemblé tout ce qui
avait été jeté
ou perdu et qui a fait appel à
lui: petites sculptures, vêtements,
morceaux de tissu, chaussures,
disques, livres, jouets, coupures
de journal, écrites des
notes, pierres, paquets de cigarettes,
morceaux de plastique que... elles
étaient comme ainsi beaucoup
de mementos, fragments de la connaissance
a imprégné d'humanité,
remplie de l'histoire personnelle
ou collective qui a apporté
pour s'occuper du concept de la
perte, d'oblivion, de l'effacement
de la mémoire. Sur son
retour de ces promenades isolées,
Georges a arrangé, dans
un ordre précis sur le
plancher, tous ces fragments de
l'histoire "récupérée".
Il les a sauvés du vide,
de l'oblivion et les a protégés
contre la mort. Georges ne s'est
pas approprié ces objets
pour lui-même, c'était
les objets eux-mêmes qui
ont fait appel à lui. Tout
ce travail, toutes ces accumulations,
ont été détruits
pendant qu'ils encombraient vers
le haut de la maison de famille,
et le comportement obscur de Georges
le distançait de sa famille.
Il était seulement 20 ans
après, après une
réunion de chance avec
un critique d'art, que les gens
ont commencé à écouter
lui encore et à le comprendre.
Il pouvait finalement montrer
ses "installations"
ailleurs qu'en cour de sa maison:
en Europe, puis dans les pays
partout dans le monde. Cette identification
du monde d'art a été
finalement prolongée à
sa propre famille. Pourtant il
a dit: "artiste? Cela ne
signifie rien à moi. Je
n'ai pas appris des choses dans
une art-école, je suis
seulement un témoin de
l'histoire... Je fais des promenades
comme befits un philosophe, ainsi
il peut rapporter ce qui se produit
en nature et dans le monde. Je
toujours." Chacune de ses
installations se compose des éléments
rapportés de ces promenades
africaines et accomplis avec des
fragments glanés des "promenades"
dans les villes où il exhibe.
Expositions
collectives (sélection)
1994-1998
"itinéraire de l'Esclave
de La de sur de de l'Art d'itinéraire
de La"
- Institut Claude-Nicolas Ledoux.
D'Arcs de Salines Royales et Senans,
France.
- Sao Paulo, Brasil.
- musée d'art moderne.
Santo Domingo, République
Dominicaine Dominicaine.
Centre Culturel. Sainte-Marie,
La Martinique.
1995
"GRANDE VILLE"
La Galerie Serpentine
Londres, Grande-Bretagne.
1996
"art africain vers les images
de l'année 2000 de l'Afrique"
Tour Ronde.
Copenhague, Danemark.
1997
"modernités d'autres
de Les"
Trépointe de der de Kulturen
de der de Haus
Berlin, Allemagne.
1997
"Courants alternatifs"
2ème Johannesburg Biennal,
Afrique du Sud.
1998
"Roteiros. Roteiros. Roteiros.
Roteiros... "
24ème Sao-Paulo Biennal,
Brasil.
1998
"philosophiques de Les Ecole"
7 eme Triennale de la petite Sculpture.
Stuttgart, Allemagne.
1998
"Veilleurs du Monde"
Musée national pour l'Africain
et l'art d'Oceanian.
Paris, France.
2000
"exotismes de Partaged"
5ème Lyon Biennal pour
l'art contemporain.
Lyon, France.
1999-2000
"Dialogue De Kunst Welten
Im"
Musée De Ludwig.
Köln, Allemagne.
2000
"Voilà. Tête
de La de dans de Le Monde "
Musée de ville de Paris
d'art moderne.
Paris, France.
2000
"désastre de guerre"
PS1(moma) Centre Contemporain
D'Art.
New York, Etats-unis.
2001
"trépointe d'eine
d'ist d'Ein Raum"
Kunsthalle Zurick.
Zurick, Allemagne.
Bibliographie
choisie
1998
"GEORGES ADEAGBO, CONVERSATION
AVEC MURIEL BLOCH"
Texte bilingue: Français,
Anglais.
Édité et édité
par: Au figuré/le Quartier.
La France.
1998
Veilleurs du Monde par Anaïd
Demir.
Texte bilingue: Français-anglais.
Édité et édité
par: CQFD/afaa/ministère
des affaires étrangères.
La France.
1997
"avec d'Entretiens Georges
Adeagbo" par Caroline Pouzolles.
DES Signes, n4 de Terre.
Édité et édité
par l'Harmattan.
La France.
1996
Art contemporain de l'Afrique:
"monde: Georges Adeagbo "
par Régine Cuzin et Jean-Michel
Rousset.
Édité par André
Magnin et Jacques Soulillou.
Édité par Harry
N. Abraams.
New York.
Catalogues
choisis
1998
Roteiros. Roteiros. Roteiros.
Roteiros...
24ème Sao Paulo Biennal,
Brasil.
1998
"Georges Adeagbo" par
Régine Cuzin
sculpture en Triennale de la petite
de 7 eme.
Stuttgart, Allemagne.
1997
Georges Adeagbo "mort de
La et La Résurection"
"Georges Adeagbo, le Petit
Poucet fractal" par Sam Cambio
Galerie De Nathalie Obadia.
Paris, France.
1995
Grande ville "Georges Adeagbo"
par Régine Cuzin
La Galerie Serpentine.
Londres, Grande-Bretagne.
Expositions
personnelles (sélection)
2001
"Georges Adeagbo. L'Âge
De Pytgagorean "
Im Galerie De Taxipalais.
Innsbruck, Autriche.
2000-2001
"Georges Adeagbo"
Musée d'art moderne.
Lille, France.
1997
Georges Adeagbo "mort de
La et La Résurection"
Galerie De Nathalie Obadia
Paris, France.